Résilient·e·s #85 : Du changement à Oyonnax, une archère INSA en lice pour les JO 2024 et des chercheurs distingués
La lettre de l'INSA Lyon

Et après le diplôme ? Interrogés en début d'année, les ingénieurs diplômés en 2022 ont fait part de leurs situations professionnelles. Au sein de la promotion, 85 % ont été recrutés en moins de deux mois et 97 % recommanderaient leur école à un ami. Voir la synthèse de l'enquête insertion professionnelle.

SDAD. La 5^e édition de la Semaine des Alternatives Durables aura lieu du 14 au 21 décembre. Conférences, ateliers, tables rondes et débats ouverts à toutes et tous, animeront cette semaine autour de la thématique de la planification écologique. La programmation interrogera notamment le rôle de l'ingénieur dans l'organisation d'une transition vers un monde durable.

Concours d'écriture. Organisé tous les deux ans, le concours de nouvelles du Groupe INSA invite étudiantes et étudiants, personnels et alumni à prendre la plume pour imaginer des textes de fiction, autour de la thématique intitulée "Artifice". Les manuscrits sont à soumettre avant le 11 mars 2024.

Pionniers réparateurs. Le Progrès a consacré un article à l'association des Bikers, l'atelier vélo participatif insalien. Ouvert à tous les cyclistes, il offre la possibilité d'entretenir et réparer son vélo soi-même, avec l'aide de bénévoles et des outils à disposition. Créé en 1991, l'atelier des Bikers est certainement l'un des premiers du genre. 

Thermique nanoscopique. Konstantinos Termentzidis, chercheur au Centre d'énergétique et de thermique de Lyon  (CETHIL) et son équipe auraient percé à jour les mystères du transport thermique à l'échelle nanométrique. Au cœur de matériaux solides et de systèmes solides/liquides hybrides, ils dévoilent un monde où les lois de la thermique classique ne sont plus maîtresses. 
 
Textile médical. À travers le projet de recherche et développement intitulé « Symphonies », l’INSA Lyon aux côtés de six partenaires, contribue à l’amélioration de la prise en charge du lymphœdème. En intégrant des capteurs au cœur des textiles pour le suivi de cette maladie chronique, les chercheurs du groupe Capteurs Biomédicaux de l’INL espèrent pouvoir améliorer la qualité de vie des patients.